Cette mesure, destinée à durer cinq ans, suscite des réactions contrastées parmi les États membres de l’Union européenne. Si certains pays comme la France soutiennent fermement cette initiative, d’autres, tels que l’Allemagne et la Suède, s’y opposent vigoureusement, soulignant les risques économiques et inflationnistes.
L’origine de cette mesure remonte à une enquête de la Commission européenne sur les subventions massives accordées par le gouvernement chinois à son industrie automobile. Ces subventions, jugées contraires aux règles du commerce international,…